Brûlée sur la croix

Catégories : FANTASME
il y a 9 ans

Traduction : Thor Dogtrainer

Texte Original: Burnt at the cross

Les faits ont été prouvés. Et les lois du royaume ne connaissent aucune pitié. Lindi, bien qu'ayant à peine 18 ans, a de bonnes raisons de craindre pour sa vie.

C'est pour avoir accouché d'un bâtard qu'elle vient d'être condamnée. Pour cela elle sera attachée par les mains et les pieds une croix et tourmentée de l'aube jusqu'au crépuscule. En été, un tel châtiment dure habituellement plus longtemps, car les jours sont plus longs et le temps est plus clément.

Mais c'est déjà le début de l'hiver. Son châtiment durera donc moins longtemps, mais en contrepartie elle devra endurer toute une journée la morsure du vent glacial sur sa chair presque dénudée.

Ce qui a rendu la sentence particulièrement dure, est le fait que les juges ont considéré que son bambint n'était pas de s a n g pur. Il pèse nettement moins qu'un autre nouveau né et ses oreilles, bien que pas réellement pointues, semblent être un peu plus fines que la normale.

En soit la mise au monde d'un bâtard n'était pas passible de la peine capitale dans le royaume. Pour peu qu'elle était de constitution solide une fille pouvait survivre malgré la dureté de la peine, même si elle en restait marquée vie.

Mais dans le cas de la malheureuse Lindi, c'est le fait d'avoir mis au monde un bambin considéré comme hybride, qui a aggravé sa peine C'est pour cela qu'elle attend maintenant, désespérée et en larmes, dans une sombre cellule.

Dans son cas il a été décrété qu'au crépuscule du jour prévu pour l'exécution de sa sentence elle sera, près avoir souffert sur la croix pendant des heures, finalement clouée dessus. Des gros clous seront plantés au travers de ses mains et de ses pieds en s a n g . Puis des fagots de bois seront amassés autour de ses jambes.

Son agonie sur la croix franchira alors un nouveau degré, au moment où le feu sera mit à ces fagots. Et elle périra ainsi, le corps consumé par les flammes crépitantes, pour purifier la terre des effets de son péché contre nature.

Lindi n'ignore pas qu'il n'existe aucune procédure d'appel aux sentences royales et qu'il n'y a pas non plus de fuite possible, car donner asile une condamnée est considéré comme passible de la peine de mort.

Il n'existe qu'une règle : plus vite la sentence sera exécutée, plus vite l'affaire sera oubliée.

Les deux mages arrivent au crépuscule. Leur tâche est de rester avec la condamnée toute la nuit. "La nuit sans sommeil" est également prévue par la loi. Aucun repos ne doit lui être accordé et les mages le savent.

Ils se relayent donc pour dormir à tour de rôle, veuillant à ce que la pauvre jeune fille reste ne puisse prendre, elle, aucun repos. Au lieu de cela, ils la baisent à plusieurs reprises et quand ils n'en peuvent plus, ils l'obligent encore à leur faire des caresses buccales, jusqu'à ce qu'ils soient à nouveau à même de la baiser encore... et encore... et encore.

Au matin suivant les mages peuvent enfin s'endormir, épuisés de leurs prestations nocturnes. Mais pour la pauvre Lindi c'est bien différent.

Bien avant l'aube, elle est brutalement traînée hors de sa cellule, dénudée au beau milieu de la cour intérieure de la forteresse et aspergée d'eau glaciale pour la laver sommairement. Puis une mince chemise de coton lui est donnée pour couvrir son frêle corps humide et tremblant.

C'est cette seule vêture qui devra la protéger du froid tout au long de la journée, jusqu'à ce qu'enfin le feu soit allumé sous elle. Puis, les mains liées dans le dos et la corde au cou, elle est menée hors de la prison, au travers des ruelles de la ville, dans un long cortège éclairé par des torches.

A son passage les gens, qui se sont levés tôt pour la voir aller son supplice, lui lancent des insultes et des obscénités. Des filles qui ont été séduites par les cajoleries des elfes ne méritent pas mieux.

"Que ça te serve de leçon putain !..."

"Oui... oui... plus aucune oreille pointue ne profitera de tes trous !..."

Finalement le cortège atteint la clairière où se dresse la croix qui attend la malheureuse Lindi. Cette croix est à peine plus haute que Lindi elle-même.

Sans perdre de temps les gardes la collent contre le bois et attachent ses mains à la poutre transversale, tandis que ses chevilles sont liées à la base. Pour finir ils clouent au-dessus de sa tête une planchette de bois sur laquelle les détails de son crime sont inscrits.

LINDI, FILLE DE TELMAR, QUI A ACCEPTE LA SEMENCE DES ELFES

Un cercle magique est ensuite tracé autour de la croix. Il doit être au moins aussi large que les bras de la croix et doit marqué les limites du mal que le corps de Lindi a absorbé et qui pourrait, malgré que la jeune fille totalement immobilisée, rayonner autour d'elle, menaçant de stérilit perpétuelle les récoltes, le bétail et les femmes.

Personne n'oserait franchir la limite de ce cercle durant le jour. Finalement Lindi est abandonnée ainsi pour souffrir seule, en maudissant le jour où elle avait laisser un jeune Elfe la pénétrer.

"Je ne te pénétrerai pas..." avait-il dit. "... tu seras en sécurité avec moi..."

Qui aurait pensé qu'il la prendrait au contraire avec une telle intensité ? Lindi avait eut l'impression que tout son ventre s'embrassait d'un feu incontrôlable, tandis que l'Elfe déversait en elle sa semence. Et a présent elle devait payer pour cette faute.

Très vite des crampes inscriptible tordent ses membres écartelés et elle tremble de froid. Le pale soleil qui vers midi perce les nuages, ne lui apporte que peu de chaleur et un piètre réconfort. C'est presque avec impatience que Lindi attend sa fin.

A la tombée du jour il lui semble que toute la ville est venue, envahissant la clairière, pour attendre dans un silence impressionnant l'arrivé du tueur d'Elfes.

Celui-ci arrive finalement, monté sur une jument gris foncé, portant sur le dos son manteau de plumes noires et blanches et sur son épaule le sac rempli des instruments indispensables pour vaincre le malheur qui a envahit la cité.

Au moment où le crépuscule tombe, le tueur d'Elfes se jette soudain à terre et s'approche du cercle magique à quatre pattes. Le nez au sol il entre dans le cercle. Puis il lève la tête et renifle les jambes de la suppliciée, avant de soulever sa chemise et de coller son visage à son entrejambe.

"Sa sent l'Elfe !..." crie-t-il alors à la foule en se retournant.

"Brûlez-la !... brûlez-la !... brûlez-la !... brûlez-la !..." scande aussitôt la foule à l'unisson.

Alors l'homme se met à tirer sur la chemise de la jeune fille, la déchirant de haut en bas d'un seul coup, exposant ses seins et son sexe à la foule avide de sensation.

Nue la jeune fille est si belle que les bonnes gens ne sont nullement étonné que les Elfes aient été attirés par elle. Il n'était pas d'ailleurs pas étonnant que leurs oreilles soient pointues, car pour l'instant, à la seule vue du corps nu de la malheureuse, beaucoup d'hommes dans la foule devenaient pointus à leur tour.

Posément le tueur d'Elfes découpe les derniers lambeaux de la chemise de Lindi, les jetant en tas à ses pieds. Puis il sort de son sac un marteau et des longs clous de fer.

C'est l'instant que Lindi a tant redouté.

Très vite, mais en jetant de temsp en temps, pour mesurer le résultat de ses effets dramatiques, un coup oeil vers la foule qui l'acclame l'inqusiteur cloue Lindi à jamais sur la croix sur laquelle elle mourra sous peu. Puis il se met à enduire d'une huile spéciale son corps juvénile et sans défauts, insistant longuement sur ses bras, ses jambes et son torse.

Il prend un long moment pour bien enduire ses seins juvéniles, les massant doucement, réchauffant ses mamelons presque gelés, faisant même gicler quelques gouttes de son lait maternel. Puis sa main s'égare doucement entre ses cuisses, les caressant en mélangeant l'huile à l'urine qu'elle n'a pas pu s'empêcher de laisser couler tout au long de la journée.

L'exécuteur n'a aucune haine envers Lindi. Il est près à lui donner tout le plaisir qu'elle pourra encore éprouver dans sa situation horrible. Surtout qu'il sait que la foule, acclamera de joie et frémira de plaisir en entendant les cris de la suppliciée, s'arquant dans les spasmes d'un dernier orgasme, amer et terrifiant. Et il n'a pas l'intention de décevoir les spectateurs.

Pour terminer l'exécuteur vérifié que le cercle enchanté a été correctement tracé. Puis, avec un bâton il trace quatre canaux perpendiculaires, en partant chaque fois du pied de la croix vers l'extérieur.

La croix de la suppliciée se dresse maintenant dans le centre d'une autre croix tracée au sol. Malgré sa souffrance, Lindi fixe avec étonnement ces ornières, profondes d'un demi pouce au moins, tandis que le tueur d'Elfes les remplit d'une fine poudre bleu.

Pendant ce temps ses aides apportent les fagots qu'ils empilent autour de la croix. Dans un geste de désespoir Lindi tente de les repousser d'un coup de pieds, mais ceux-ci sont trop bien cloués au bois pour lui permettre le moindre mouvement. Le tueur d'Elfes réclame alors le silence. Debout en dehors du cercle magique, juste derrière Lindi, il brandit un instant une torche allumée avant de l'abaisser pour mettre le feu à la poudre bleu.

Un éclair brillant parcoure tout le cercle magique et Lindi le voit courir dans les ornières venant vers elle, allument d'un coup les broussailles sèches empilées contres ses jambes et ses cuisses.

La foule attend, regardant en retenant son souffle le spectacle qui se déroule devant eux: le grésillement du bois sec, Lindi luttant contre les clous qui l'immobilisent douloureusement, tandis que les flammes montent vers elle, caressant déjà ses belles jambes... l'odeur du bois qui brûle, la vue de ses poils pubiens qui s'enflamment d'un coup, le visage de la jeune fille tordu par la souffrance...

Le feu étant avivé par un vent assez fort, tout se termine presque trop vite au goût des spectateurs. Bientôt le feu retombe et tandis que le peuple s'en retourne avec un sentiment de sécurité retrouvée, le vent éparpille les cendres de bois et d'os en tous sens,.

Au matin suivant le tueur d'Elfes revient sur les lieux pour récupérer ses clous. Il ne faut rien perdre... car ils auront encore besoin de lui, ça arrivait tout le temps.

On avait beau prévenir les jeunes filles, la tentation était trop forte.

Que pouvaient donc posséder ces Elfes mâles qui les rendait si irrésistibles ?

Ces petits êtres avaient-ils vraiment un sexe aussi disproportionné ?

Vraiment... ça le tracassait.

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